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On ne présente plus Dino Egger, le génial inventeur, celui sans qui la face du monde eût été différente s'il n'avait pas vécu.
Dino Egger fut un homme d'exception il n'y a aucun doute possible - génie ayant tâté de tout - plus beau que Descartes, moins sourd que Beethoven"; un philosophe plus endurci que Kant, moins intempestif que Nietzsche mais tout aussi fulgurant"; un poète qui ferait passer en comparaison Victor Hugo pour Didier Barbelivien, un homme de science, un ... mais attendez la liste est étourdissante !
Si donc on ne le présente plus, il fallait l'immense talent d'Albert Moindre pour nous offrir cette biographie (sobrement intitulée Dino Egger) élégante et précise qui nous permet de comprendre l'homme derrière le mythe, le gonze derrière la légende.
Réjouissons nous de cette biographie (j'allais écrire bénédiction) et partons à la découverte de l'homme qui inventât entre autres "le miroir réversible permettant de se voir de dos", "l'exacte mesure de la distance séparant le ciel et la terre", "le fil à recoudre le beurre" et qui aurait pût inventer la poésie qui nourrit son homme ou la machine à repousser les rêves les plus fous.
Il y a une chose toutefois que je ne m'explique pas : pourquoi diable sur la couverture le livre est-il signé Éric Chevillard ?

à paraitre le 20 janvier 2011

Commentaires

  1. C'est simple : Eric Chevillard est l'un des pseudonymes de Thomas Pilaster, l'immense auteur notamment de "Trois tentatives pour réintroduire le tigre mangeur d’hommes dans nos campagnes" (1976-1979) - où apparaît d'ailleurs déjà le non moins fameux Albert Moindre (le même qui, rappelez-vous, nous a aussi, plus récemment, perdu l'orang-outan).

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