les mâles se rebiffent


Grosse nouvelle aujourd'hui, pour faire le pendant au prix Femina (je n'ai pas pu m'empêcher) le 3 novembre sera décerné le premier prix Virilo.

En fait il s'agit de trois prix

- Le Prix Virilo lui-même, qui «récompense un roman publié dans l'année ayant touché le jury par son audace littéraire, sa justesse, ou toute autre qualité faisant sens»

- The Virilo Prize, qui «est l'équivalent du Prix Virilo en littérature étrangère, en plus d'être un mauvais jeu de mot en franglais»

- Le Prix Trop Virilo, qui «récompense pour sa part la poussée littéraire de testotérone la plus vivace de l'année»; c'est-à-dire un livre «qui doit sentir l'homme, l'aigre vestiaire de fin de match»

Sachons accueillir cette bouffonnerie moustachue avec tout l'humour qu'elle véhicule. Souhaitons aussi que les éditeur des romans récompensés joueront le jeu de la farce et imprimeront un bandeau.
Enfin un peu de couillonnade dans la rentrée littéraire.
En lice pour l'obtention rien de moins que Enard, Echenoz, Rollin, Brami, et Robert Alexis.
Si vous voulez en savoir plus allez sur le blog à moustache juste....

Commentaires

  1. Tiens donc.
    La moustache reprendrait-elle du poil de la bête en littérature ?
    Cela peut se comprendre : qui porte la moustache n'a pas de poil dans la main.
    Dicton d'un matin de mal à la calvitie (les glaçons dans le rosé, ça ne pardonne pas)

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