Ouverture il y a quelques jours sur le site de la librairie Ombres Blanches d'un tout nouveau blog, consacré au monde du livre.
Je me dois d'y participer, mais je n'ai pas envie de cesser mes activités ici.
On trouvera donc sur le site de la librairie des chroniques, certes un peu plus calibrées et moins libres (encore que...) ainsi que des notes sur l'actualité des livres sur mes tables et dans le magasin, et des regroupements thématiques. Je me garde pour les ruines des textes plus personnels ou des prolongements de notes.
Le blog de la librairie se veut un lieu d'échange avec nos nouveaux types de clients, ceux qui se sont dématérialisés, les padlecteurs (l'élasticité des mots étant sans limite, je trouve fascinant cette possibilité d'accoler le substantif que l'on veut à un mot pour en faire un nouveau complètement branché, c'est de la batgrammaire).
Le blog d'Ombres Blanches n'est juste qu'un autre lieu pour parler de lectures. Il est certes virtuel, mais c'est à nous d'y apporter ce qui fait la richesse de notre métier...nos tripes et nos boyaux et l'enthousiasme qui va avec.
Rendez vous vous donc
là
pour y causer Bolaño (c'était pour moi la moindre des choses que de débuter avec lui) et plein d'autres choses.
Je me dois d'y participer, mais je n'ai pas envie de cesser mes activités ici.
On trouvera donc sur le site de la librairie des chroniques, certes un peu plus calibrées et moins libres (encore que...) ainsi que des notes sur l'actualité des livres sur mes tables et dans le magasin, et des regroupements thématiques. Je me garde pour les ruines des textes plus personnels ou des prolongements de notes.
Le blog de la librairie se veut un lieu d'échange avec nos nouveaux types de clients, ceux qui se sont dématérialisés, les padlecteurs (l'élasticité des mots étant sans limite, je trouve fascinant cette possibilité d'accoler le substantif que l'on veut à un mot pour en faire un nouveau complètement branché, c'est de la batgrammaire).
Le blog d'Ombres Blanches n'est juste qu'un autre lieu pour parler de lectures. Il est certes virtuel, mais c'est à nous d'y apporter ce qui fait la richesse de notre métier...nos tripes et nos boyaux et l'enthousiasme qui va avec.
Rendez vous vous donc
là
pour y causer Bolaño (c'était pour moi la moindre des choses que de débuter avec lui) et plein d'autres choses.
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