Le non-temps impose au temps la tyrannie de sa spatialité : dans toute vie il y a un nord et un sud, et l'orient et l'occident. Au plus extrême, ou pour le moins au carrefour, c'est un fil des saisons survolées, l'inégale lutte de la vie et de la mort, de la ferveur et de la lucidité, fût-ce celle du désespoir et de la retombée, la force aussi toujours de regarder demain. Ainsi va toute vie. Ainsi va ce livre, entre soleil et ombre, entre montagne et mangrove, entre chien et loup, claudiquant et binaire.
Le temps aussi de régler leur compte a quelques fantasmes et à quelques fantômes.
J'habite une blessure sacrée....
Le temps aussi de régler leur compte a quelques fantasmes et à quelques fantômes.
J'habite une blessure sacrée....
Merci de cet extrait.
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